COURS ÉVEIL « L’ÂGE DE LA DÉCOUVERTE »
ÉVEIL – Spectacle 2015
3/4 d’heure – À partir de 5 ans
Le cours d’Éveil a pour but d’introduire l’enfant dans la danse.
Tout en restant ludique et à l’écoute de l’enfant, chaque cours a un ou plusieurs objectifs.
Des ateliers (dont les thèmes sont Espace, Temps, Mouvements) sont proposés pour permettre aux mouvements de l’enfant d’atteindre la fonction poétique qu’est la danse.
Le but est de s’approprier l’art de la danse par une expérimentation active et pleine de fantaisie.
COURS INITIATION 1 « PRÉMICES DE LA TECHNIQUE »
1 heure – 6 ans
Passer de l’Éveil à l’Initiation, c’est passer de l’atelier de Découverte à celui de la Technique.
Au cours d’Initiation, l’enfant prend connaissance des fondements des techniques de la danse (Jazz et Classique) et les expérimente.
La construction d’une séance se construit également en fonction de l’enfant qui grandit et des éléments fondamentaux de la danse.
La première partie des cours (1/2 heure) : technique.
Deuxième partie (1/2 heure) : atelier de découverte comblé par le jeu de l’enfant, jeu auquel l’enfant et le professeur adjoignent de plus en plus de règles.
INITIATION 1 – Spectacle 2015
COURS INITIATION 2
INITIATION 2 – Spectacle 2015
1 heure – 7 ans
Le niveau d’exigence évolue, toujours en fonction des capacités et des compétences de l’élève.
Le cours proposé laisse place à la Technique (Jazz et Classique) et développe la perception, l’observation et l’écoute.
À la fin du cours (5 à 10min), un travail d’improvisation permet à l’enfant de mettre en place, avec ou sans code restrictif, sa propre émotion dans la danse. Après avoir expérimenté les éléments fondateurs et développé la compréhension, la conscience du mouvement, l’enfant peut construire sa personnalité dans l’art de la danse et choisir l’année suivante un cours de Danse-Jazz, ou un cours de Danse Classique, ou les deux.
COURS CLASSIQUE
Classique préparatoire (8/10 ans)
Classique moyen (11/14 ans)
Classique intermédiaire (14 ans et +)
Classique Adultes
La technique classique repose essentiellement sur le principe de l’en dehors, les 5 positions de référence, l’aplomb, la rigueur et la netteté.Sa technicité n’a cessé de se développer depuis le XVIIe siècle.
C’est à cette époque que le ballet de cour français commença à s’épanouir, sous le règne de Louis XIV qui vouait un amour fou à la danse et qui créa l’Académie Royale de Danse en 1661, et en 1669 l’Académie Royale de Musique.
Ce qui donnera naissance plus tard à la prestigieuse Compagnie connue sous le nom de Ballet de l’Opéra de Paris.
Avec la Sylphide (1832), un grand tournant s’opère, l’idéal romantique submerge la scène et la danse devient aérienne, précise, élaborée et essentiellement féminine. Cette impression de légèreté vient de l’utilisation des chaussons de danse nommés « Pointes ».
Marius Petipa, un Français et l’un des plus grands explorateurs de la technique classique, nous laisse de nombreux chefs-d’œuvre : « La Bayadère », « le Lac des Cygnes », « Don Quichotte » qui sont le fondement et la base de la danse classique.
CLASSIQUE 2 – Spectacle 2015
COURS MODERN JAZZ
Les cours de modern jazz s’adressent à un public d’au minimum 8 ans.
JAZZ 3 – Spectacle 2015
Jazz préparatoire
Jazz prépa-moyen
Jazz moyen
Jazz ados (12/14 ans)
Jazz intermédiaire et Jazz avancé (14 ans et +)
Jazz Adultes
Le terme « jazz » apparaît en 1917 pour désigner une musique syncopée, dérivée de la culture noire américaine, puis est librement employé pour qualifier les danses issues de cette rythmique.
La danse jazz tire cependant son origine des danses afro-américaines vernaculaires de la fin des années 1800.
Apparentée aux claquettes des années 1920 de Broadway, la danse jazz atteint le monde entier.
À partir des années 1940, les grands chorégraphes modernes intègrent la danse jazz dans les comédies musicales et lui confèrent une fonction narrative.
Les années 1950 voient apparaître le vocable de « modern jazz », expression née dans les studios new-yorkais de Matt Mattox et autres chorégraphes qui travaillent sur l’énergie, les rythmes syncopés, les arrêts, les silences, la dynamique et la surprise, tout en favorisant l’expression individuelle et le « feeling ».
De là, le vocable évolue vers le divertissement et désigne des formes de danses propres aux cabarets, aux théâtres, au cinéma, à la télévision, aux clips vidéo.